« Faire vivre cette wishlist était devenu une activité en soi. Il fallait qu’elle bouge, raccourcisse, rallonge, bref, que quelque chose soit perpétuellement en mouvement, et cette dynamique-là n’entretenait rien de bon. Je me torturais pour tout, les priorités, le budget. Incapable de savoir par quel bout prendre mon inventaire. Frustrée de ne pas avoir les moyens de mes envies. Et honnêtement bien plus heureuse quand je faisais une grande séance de tri dans ma penderie. Là ça bougeait et en plus je ne dépensais rien. »

Charlotte et les listes, chapitre 287, vous en voulez ?
« Shopping : faut-il cesser de faire des wishlists », c’est en ligne sur le site du ELLE.

Visuel : ELLE.fr / iStock

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