Mi-septembre.

Quand chaque semaine ressemble à un 110 mètres haies, quand tu sais que tu devrais dormir plus, faire plus de sport, manger mieux, et que tu n’y arrives déjà plus. Quand tu regardes le jour qui se lève, la piste qui t’attend, le frisson d’excitation et de peur, et que tu te dis « I got this » un doss à la fois.

Lundi 12, répondre à vos commentaires du week-end, travailler pour le ELLE.fr, sur l’un des innombrables sujets que j’ai toujours dans les tuyaux avec eux, comme cette longue interview de Sarah Jollien-Fardel dans laquelle elle nous racontera sa trajectoire, de son blog mode à son roman « Sa Préférée » retenu sur la première liste du Prix Goncourt.

Mardi 13, jeter un œil au palmarès des Emmy Awards tout en « ghostwritant » pour Fleur, ma cheffe d’entreprise préférée. Un exercice qui challenge mon écriture en permanence, car il faut se mettre dans la tête de l’autre, proposer des choses, ajuster, recommencer. Un long travail d’écoute et de projection, celui qui me rapproche le plus de la fiction.

Mercredi 14, relire encore le 1er chapitre de « Glory Box », décider du titre, apporter d’ultimes retouches, dormir dessus, savoir que je vais le reprendre une dernière fois le lendemain.

Jeudi 15, faire le grand saut :  démarrer la grande aventure « Glory box » avec mes premiers abonnés, en publiant un extrait ici et le chapitre 1 sur Kessel. Me demander si j’ai choisi la bonne histoire pour commencer ce récit. Me souvenir qu’elle s’est de toute façon imposée. Et que j’ai justement voulu cette méthodologie-là pour avoir des évidences et les laisser se déployer. Un mois après l’autre, un chapitre après l’autre, une haie après l’autre.

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