« Sourire, c’était consentir, c’était se rendre disponible, c’était avoir de la répartie pour gérer la suite. Le don d’éconduire sans vexer. De manier le small talk.

Ne pas sourire, c’était sauter l’obstacle. C’était pouvoir désamorcer l’échange avant même qu’il ait lieu. C’était choisir ses interlocuteurs. »

Ce mois-ci dans ma newsletter, je vous parle de ma « resting bitch face », celle qui m’a suivie si longtemps dans la rue, sur mon blog, au travail. Celle que je surprends encore sur les photos volées de moi. Celle qui raconte ma génération et ma filiation.

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