C’est un détail que je remarque instantanément chez quelqu’un. La mauvaise couleur. La mauvaise palette. Je le garde généralement pour moi. Préférant attendre le jour où la bonne teinte survient, pour pouvoir faire un compliment enthousiaste.

La colorimétrie est une théorie complexe, un mille-feuilles difficile à assimiler, à s’approprier, comme toutes les approches scientifiques. Elle contredit souvent nos goûts, nos habitudes, nos réflexes. C’est inconfortable. Alors on plaque vite un jugement esthétique dessus, sans écouter ce qu’elle peut nous enseigner.

Moi j’ai de la chance : cheveux et sourcils bruns, peau et yeux clairs, j’ai l’un des profils les plus faciles à reconnaître, « winter », couleurs froides friendly.

Pourtant cet hiver est vaste et nuancé. 50 nuances de froid ! Les miennes sont saturées, vibrantes. Cool winter. Et quelques épiphanies m’ont été nécessaires pour arriver à ce constat.

Je vous l’avais promis, ce mois-ci dans ma newsletter, je fais un point sur ma colorimétrie, pourquoi elle m’a ouvert plus de perspectives que d’interdits, et quelles lectures/photos/vidéos m’ont aidée à mieux la saisir.

# 38 Winter is coming, c’est ma newsletter de mai 2023 sur Kessel, qui sera vers 17h dans vos boîtes mail. Pour vous abonner, c’est toujours par ici et c’est toujours gratuit.


Visuel : Radiantly Dressed

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