J’ai emprunté ce schéma à la méthode d’Anuschka Rees quand j’ai commencé à alléger ma penderie en 2014, l’ai relayé dans mon Dressing Code en 2019, et il est toujours aussi pertinent chez moi deux ans plus tard, pour fixer les évolutions de ma palette chromatique.

À force d’essayages et de comparaisons, j’ai trouvé mon « bon vert » (sauge plutôt que kaki), mon « bon rose » (fuchsia plutôt que bois de rose ou vieux rose) et je laisse les touches de blanc monter en puissance, de même que les accessoires argentés (bijoux, chaussures et bientôt sac à main, mon futur cadeau d’anniv !)

Seule touche chaude dans cet océan de froid ? Le caramel doux du cuir naturel.
Et mon envie pour la suite ? Un violet froid et saturé, près du visage, qui ferait merveille marié au vert sauge, au gris et au caramel. Reste à trouver la bonne pièce, avec un col ras du cou, bateau ou roulé, les trois encolures qui me vont le mieux. 

Et pour une mise en pratique dans ma capsule hivernale actuelle, direction Instagram, et ma série de vidéos « CAPSULE HIVER 21 ». Dans le troisième épisode posté ce week-end, je vous raconte :


• pourquoi la notion de contraste est presque plus décisive chez moi que celle de couleurs
• le rôle primordial du blanc et des imprimés dans cette équation
• quel est mon mix de teintes « bonne mine » en hiver

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