Saturé d’échéances professionnelles et scolaires qui vous mangent les week-ends (ah la kermesse, le carnaval, le spectacle de fin d’année au conservatoire !)

Et précédé par tous ces ponts qui vous mettent dans le rouge niveau planning.

Chaque année je m’y prépare un peu mieux, comme on bande les muscles avant un effort.

Après la ligne d’arrivée, il y a l’apesanteur de juillet. Ce mois où l’on n’exige plus grand chose de vous, où vous reprenez la main, à votre rythme.


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Photo : Zila Longenecker

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